La fenêtre
Quand les notes résonnent dans la nuit
Et que lentement mes yeux se ferment
Dans une fausse mélancolie
Lorsque je décide d'avance de mes rêves
Et que je cherche un confort qui s'estompe
Par le temps ou la distance
Je parcoure la forme de mon ennui
Du bout des doigts
Je fait le chemin à l'endroit, à l'envers
Lorsque la nuit s'empille au rebord de la fenêtre
Je ferme les rideaux
Afin que mon corps n'en sache rien
Et que lentement mes yeux se ferment
Dans une fausse mélancolie
Lorsque je décide d'avance de mes rêves
Et que je cherche un confort qui s'estompe
Par le temps ou la distance
Je parcoure la forme de mon ennui
Du bout des doigts
Je fait le chemin à l'endroit, à l'envers
Lorsque la nuit s'empille au rebord de la fenêtre
Je ferme les rideaux
Afin que mon corps n'en sache rien
3 Comments:
viens de decouvrir ce joli blog depuis ta reponse sur le mien...
vive les cowboys
Moi aussi, je découvre ton blogue, et j'aime bien. Il y a quelque chose de très tendre dans tes mots. Ça me fait du bien, moi qui est plutôt un indécrottable enragé...
Salutations.
"Lorsque s'empile la nuit sur le rebord de la fenêtre..."
c'est beau, ça s'image bien, je le voyais...
Yo la tengo, yeah!
J'abonde dans les compliments des deux autres bloguistes.
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